QUOI DE NEUF POUR LA CONSIGNE SOCIALE?

Partenariat entre la Mission St. Michael's et la Brasserie T!

Montréal, le 21 avril 2015 – Reconnue pour son leadership et ses initiatives « vertes », la Chambre de commerce de l’Est de Montréal (CCEM) joint le mouvement de la consigne sociale afin de démontrer que « développement durable » peut aussi rimer avec « philanthropie ». L’organisation entend jouer les « entremetteuses » et incitera ses membres à s’unir pour soulager l’environnement et faire une différence dans leur communauté. Visiblement, la CCEM risque de devenir un lieu tout désigné de rencontre pour favoriser d’heureux mariages en propulsant une initiative qui gagne, chaque jour, un nombre croissant d’entreprises, d’organismes et de municipalités!  

Le principe est simple : d’un côté, les entreprises amassent, sur les lieux de travail, les contenants consignés afin de soutenir une cause qui leur est chère tout en améliorant leur performance environnementale. De l’autre, les organismes les récupèrent et bénéficient de l’argent de la consigne pour donner vie à des projets et soutenir leur mission. Consignéco offre, en prime, une foule de conseils pratiques pour accompagner les « futurs mariés » de même qu’une plateforme technologique de jumelage qui permet de géolocaliser un partenaire potentiel et de favoriser une union durable et gagnante. C’est sans compter les efforts que compte déployer la CCEM pour inciter ses membres à gonfler les rangs de ce mouvement des plus inspirants.  

« Les opportunités de partenariats entre entreprises et organismes sont grandes alors qu’au Québec, quelque 460 millions de canettes consignées ne sont pas retournées, ce qui représente une valeur de 25 M$. Nos études démontrent d’ailleurs que la majorité de ces contenants est « perdue » dans les industries, commerces et institutions (ICI). Pour Consignéco, cela démontre toute l’importance de s’allier à des leaders comme la Chambre de commerce de l’Est de Montréal pour inciter les entreprises à participer à la consigne sociale en donnant « leurs vides » pour une bonne cause », de mentionner Pascale Demers, porte-parole de Consigneco.  

« La Chambre de commerce de l’Est de Montréal est une association qui prône la responsabilité sociale auprès des gens d’affaires à travers ses nombreuses activités et initiatives. Bien que sa mission soit d’abord de niveau économique, la CCEM désire, petit à petit, instaurer un changement d’attitude et encourager les entreprises de l’Est à redonner dans la communauté en transmettant des valeurs d’engagement et d’implication »,  de rappeler Isabelle Foisy, directrice générale de la CCEM.  

La CCEM a d’ailleurs célébré une première union appelée à « faire des petits », soit un partenariat entre le complexe immobilier du 5600, rue Hochelaga qui abrite ses bureaux et le Programme d’information sur le travail et la recherche d’emploi de Montréal (PITREM), un organisme communautaire qui favorise l’insertion sociale, professionnelle et économique des 35 ans et moins. La Chambre a également dévoilé une vidéo ludique qui relate ce « coup de foudre » prometteur.  

« Le 5600 Hochelaga est un complexe immobilier de plus de 700 000 pieds carrés, abritant au bas mot une centaine de locataires, lesquels gèrent des entreprises allant de l’entreposage de marchandises, la fabrication de bière, de décors, ébénisterie, bingo, centres sportifs et récréatifs et bureaux d’affaires, sans pouvoir tous les nommer. Le 5600 Hochelaga, est le reflet d’une disponibilité accrue et constante et pourvu d’un service qu’on pourrait qualifier sans fausse modestie, de hors pair, car chez nous, vous êtes chez vous et c’est notre priorité! Le 5600 Hochelaga est très impliqué dans le milieu des affaires de l’Est de Montréal. Le 5600 Hochelaga a une obligation d’envergure et morale de retourner une partie de son succès dans le tissu social par l’entremise des OBNL, de réinsertion et d’économie sociale », de rappeler Jacques Dupras, gestionnaire du 5600 rue Hochelaga.  

« Les valeurs de Consignéco correspondent tout à fait à celles du PITREM qui profitera de surcroît des sommes amassées afin de continuer à offrir des stages rémunérés en entreprise à des centaines de jeunes Montréalais et Montréalaises qui ont besoin de vivre une expérience de travail positive qui changera leur vie à coup sûr », d’ajouter Danielle Lacombe, directrice générale du PITREM.  

Rappelons que dans la seule région de Montréal, on estime à près de 114 millions le nombre de canettes consignées non rapportées, ce qui représente une somme d’environ 6,8 M$. On y recense d’ailleurs plus de 1 200 groupes communautaires et fondations qui profiteraient assurément d’un coup de pouce financier supplémentaire pour soutenir leur mission et donner vie à d’inspirantes initiatives. Dans ce contexte, la consigne sociale constitue un levier attractif pour les organismes et associations caritatives qui doivent rivaliser d’audace et de créativité pour assurer leur pérennité, tout comme pour les entreprises appelées à innover constamment pour réduire leur empreinte environnementale.  

À PROPOS DE LA CHAMBRE DE COMMERCE DE L’EST DE MONTRÉAL
La Chambre de commerce de l’Est de Montréal (CCEM) a pour mission de défendre et de promouvoir les intérêts économiques et sociaux des 32 000 entreprises qui composent son territoire. Avec ses quelque 1 200 membres, la Chambre est le plus important regroupement de gens d’affaires de l’est de la métropole et exerce son leadership afin de susciter la participation active des intervenants socioéconomiques de son milieu. La Chambre de commerce de l’Est de Montréal couvre un vaste territoire s'étendant de l'est du boulevard Saint-Laurent jusqu'à la pointe de l'Ile, de la rivière des Prairies jusqu'au fleuve Saint-Laurent.  

À PROPOS DE CONSIGNÉCO
Fondée en 2011, Consignéco est une association à but non lucratif qui vise à faire connaître la valeur économique, écologique et sociale de la consigne afin d'inciter les gens à rapporter les contenants de bière consignés chez les détaillants. Issue d'une entente entre les brasseurs et RECYC-QUÉBEC, cette association regroupe les membres de l'industrie brassicole du Québec dont la Brasserie Labatt du Canada, Molson Coors Canada, le Regroupement des distributeurs de bières du Québec, Sleeman Unibroue et l’Association des microbrasseries du Québec. Pour en apprendre davantage sur la valeur de la consigne ou joindre le mouvement de la consigne sociale, visitez le consigneco.org. Vos canettes ont de la valeur : rapportez-les!   

POUR INFORMATION : 
Jenna Dubé
Le Cabinet de relations publiques NATIONAL
Tél. : 418 648-1233, poste 1227
Courriel : jdube@national.ca  

Rouba Hamadi
Chargée de projets Chambre de commerce de l’Est de Montréal
Tél. : 514 354-5378, poste 229
Courriel : rhamadi@ccemontreal.ca

Isabelle Gaboriault - La voix de l'est

Au Québec, la valeur des canettes consignées non retournées représente 25 M$. En Montégé- rie seulement, la somme s’élève à 4,7 M$. Une petite mine d’or en dormance qui a donné l’idée à l’association Consignéco de jouer l’entremetteuse dans le domaine de la consigne sociale.

Grâce à sa plateforme web, Consignéco, issue d’une entente entre les brasseurs et Recyc-Québec, propose aux entreprises, municipalités et consommateurs de donner leurs contenants consignés à des organismes communautaires ou à une cause qui leur est chère.

Au Québec, 460 millions de canettes consignées ne sont pas retour- nées chaque année. En Montérégie, ce sont 84,6 millions annuellement. « Devant ces chiffres, on s’est demandé où étaient perdues toutes ces canettes, explique Pascale Demers, directrice des communi- cations chez Consignéco. Beaucoup vont à la poubelle, mais beaucoup restent dans les industries, commerces ou institutions. Souvent, ils manquent d’infrastructures pour les récupérer.»

 « Aussi, on a remarqué que pour certains consommateurs, les canettes n’avaient pas vraiment de valeur, poursuit-elle. Certains ont fait le test. Laissez traîner une canette sur le trottoir et les gens l’ignoreront. Échappez un 5 sous au même endroit et tous se pencheront pour le ramasser. La canette a pourtant la même valeur que la pièce de monnaie...  Alors, pourquoi ne pas profiter de ces deux situations pour aider un organisme ou une fondation ? »

Comme le fait remarquer Mme Demers, plusieurs entreprises sont sollicitées, mais souvent elles n’ont pas le budget pour aider. « Donner leurs contenants consignés ne leur coûte pas un sou, lance-t-elle. Ainsi, elles donnent au suivant. Elles soulagent l’environnement tout en soutenant une bonne cause. »
     
SITE DE RENCONTRE
Consignéco sert donc de pont entre les entreprises soucieuses de faire leur part pour une bonne cause et l’environnement et les organismes ou fondations qui cherchent à se financer. À l’aide d’une carte du Québec, les organismes peuvent afficher leurs coordonnées et le projet qu’ils souhaitent voir subventionné. Grâce à cette même carte, les entreprises peuvent ensui- te se coller à l’un d’eux pour qu’ils passent chercher leurs bouteilles et canettes consignées.
« Mariez-vous ! , qu’on leur a dit à la Saint-Valentin, raconte Mme Demers. Nous, notre but c’est de rendre ça terrain. On veut simplement promouvoir la consigne sociale, et le tout est entièrement gratuit. Ce qui est intéressant, également, c’est que ça crée des liens. » 

isabelle.gaboriault@hebdoleplus.qc.ca 

SHERBROOKE — Les opportunités de recyclage sont grandes dans la seule région de l’Estrie, où on estime à près de 18 millions le nombre de canettes consignées non rapportées. 

L’organisme Consignéco calcule que cela représente environ 988 000 $, somme qui pourrait être généreusement offerte à ceux qui en ont besoin. 

« On y recense d’ailleurs plus de 220 groupes communautaires et fondations qui profiteraient assurément d’un coup de pouce financier supplémentaire pour soutenir leur mission et donner vie à d’inspirantes initiatives », fait-on remarquer. 

« Des entreprises donnent d’ailleurs déjà l’exemple en offrant leurs canettes vides pour une bonne cause, démontrant que développement durable peut aussi rimer avec engagement social. » 

Selon un sondage mené par la firme Léger pour le compte de Consignéco, 8 % des organismes à but non lucratif du Québec participants confirment avoir recours à la collecte de contenants consignés comme source de financement. D’ailleurs, 86 % des organisations sondées se disent en faveur d’une hausse de la consigne, vantant notamment ses retombées positives pour l’environnement (81 %), ajoute un communiqué de presse. 

« Une majorité de personnes pense que la consigne sociale constitue un moyen simple, rapide et attrayant pour ancrer sa présence dans une communauté et mieux se faire connaître, voire tisser des liens de confiance avec les entreprises, chambres de commerce et municipalités. Au final, 35 % des répondants témoignent des bénéfices développés, au fil des ans, par des partenariats gagnant-gagnant», écrit-on. 

Claude Plante 
claude.plante@latribune.qc.ca 

Mélissa Guillemette
redactionlesaffaires@tc.tc
 
Sans trop s’en rendre compte, les employés de neuf entreprises beauceronnes financent la construction d’une maison pour une famille défavorisée du Guatemala. Les canettes vides que les employés déposent dans un bac au travail représentent un butin précieux pour 14 jeunes qui s’apprêtent à partir en voyage de coopération internationale.
Le partenariat entre la Maison des jeunes L’Olivier, de Saint-Prosper (Beauce), qui organise le séjour au Guatemala, et la Chambre de commerce de l’Est de la Beauce est un exemple de jumelage gagnant facilité par Consignéco, une association qui valorise la consigne comme méthode de financement. «On fournit les bacs et les sacs aux entreprises,
et en échange, on ne les sollicite pas pour d’autres commandites pour ce voyage», dit le coordonnateur de la Maison des jeunes, Guillaume Rodrigue.
Les jeunes récupéraient déjà les canettes depuis quelques années pour le voyage annuel de coopération. L’an dernier, 14 000$ ont ainsi été amassés. Le jumelage devrait permettre de bonifier ce montant. Tant mieux, car au total, il faudra 40 000$ pour permettre aux jeunes de faire leur première expérience de coopération internationale.
28 M$ à la poubelleConsignéco, fondée en 2011 à l’issue d’une entente entre les brasseurs et RECYC-QUÉBEC, tente de créer de tels «matchs» depuis un an pour maximiser le pouvoir de la consigne comme moyen de financement. «Historiquement, les scouts et les équipes sportive ont toujours été les champions de la collecte de canettes pour financer leurs activités», souligne la porte-parole de Consignéco, Pascale Demers. Au total, 462,5 millions de canettes prennent le chemin de la poubelle chaque année au Québec. On gaspille ainsi 28 M$ en consigne. En embarquant les entreprises dans l’initiative, on espère en récupérer davantage. Les entreprises participantes font oeuvre utile sans dépenser un sou. Leur apport n’en est pas moins important. Un sondage récent de Consignéco révèle que les contenants consignés représentent en moyenne 8% du budget total des organismes répondants inscrits au registre. «En cette période d’austérité budgétaire, les organismes doivent se trouver de nouvelles sources de financement, rappelle Pascale Demers. Ils doivent faire preuve de créativité. La consigne est intéressante, car c’est un financement récurrent», contrairement à certaines subventions.
Daniel Dutil, propriétaire de Perfection Auto, à Saint-Prosper, trouve que la maison des jeunes a eu une vraie bonne idée en communiquant avec les entreprises locales pour récupérer les contenants consignés. «En tant que commerçants, on est très sollicités pour des dons en argent, alors c’est une initiative originale, à laquelle on ne pouvait pas dire non.» Avant que le partenariat soit établi, les canettes vides des employés et des clients étaient déposées au recyclage. «J’aime bien mieux les donner pour qu’elles servent à des jeunes du coin.»
Un jumelage peut mener loin dans certains cas. «C’est une porte d’entrée dans l’entreprise, dit Pascale Demers. L’organisme doit aller récupérer les canettes régulièrement; on se demande alors des nouvelles et une relation s’établit. Certains employés de l’entreprise finiront peut-être par faire du bénévolat pour l’organisme ou lui feront des dons à Noël.»
Les organismes font d’une pierre deux coups. En plus de s’assurer un revenu supplémentaire, ils incitent les entreprises à faire un geste concret pour l’environnement. «Avant, certaines des entreprises avec qui nous étions jumelés jetaient les canettes», remarque Guillaume Rodrigue.
Le jumelage est intéressant aussi pour les entreprises qui profitaient du programme de collecte Consignaction, qui a été mis au rancart au printemps dernier.

CONSIGNE SOCIALE. Le Rouge et Or de l’Université Laval s‘engage dans un nouveau partenariat avec Consignéco. À l’aide d’une vidéo, l’organisation valorisera la consigne sociale. Les nombreux spectateurs des matchs de football notamment seront sensibilisés à l’importance de récupérer à 100 % leurs contenants. Depuis plusieurs années, l’argent recueilli grâce aux milliers de contenants consommés dans le cadre des matchs du Club de football sert à financer les activités sportives. Par exemple, les établissements scolaires collégiaux à Limoilou et celui de Garneau bénéficient de sommes. L’objectif est de redonner à la communauté et de contribuer au développement d’une élite sportive de haut niveau dans la région (I.C.) (Photo TC Media – Archives)

Québec Hebdo

Québec, le 5 octobre 2014 — Habitué aux grands honneurs et aux succès sportifs, le Rouge et Or de l’Université Laval a choisi de relever un nouveau défi, cette fois à saveur philanthropique : la consigne sociale. Soucieuse de redonner à sa communauté et de développer une élite sportive de haut niveau dans la région, l’organisation verse l’argent de la consigne aux équipes sportives de la relève qu’elle a déjà identifiées et réparties sur le territoire de la ville de Québec.
   
D’ailleurs, aujourd’hui, à l’occasion du match opposant les Stingers de l’Université Concordia qui se tient au Stade TELUS-Université Laval, les joueurs du Rouge et Or donnent le coup d’envoi de ce nouveau partenariat avec Consignéco. Soulignons que, depuis plusieurs années, l’argent recueilli à même les milliers de contenants consommés dans le cadre des très courus matchs du Club de football Rouge et Or sert déjà à financer les activités sportives d’une jeunesse appelée à prendre son essor. De plus, une capsule vidéo sera diffusée lors des parties du RetO à domicile afin de sensibiliser les spectateurs à l’importance de récupérer à 100 % leurs contenants par l’entremise de la consigne et ainsi faire une différence pour leur communauté.  

« C’est dans l’ADN du Rouge et Or de permettre à nos athlètes de se perfectionner. Pour qu’on puisse compter sur le meilleur alignement au cours des prochaines saisons, encore faut-il donner à notre jeunesse les outils et les leviers financiers pour se développer pleinement. Ainsi, nos spectateurs continueront de soutenir une relève prometteuse », a souligné Christian Gagnon, directeur du Service des activités sportives à l’Université Laval.  

De toute évidence, le mouvement de la consigne sociale prend de l’ampleur au Québec. De plus en plus d’organismes et de groupes communautaires se tournent vers la consigne comme source de financement. Des entreprises emboîtent aussi le pas, percevant dans la consigne sociale un levier supplémentaire pour améliorer leur bilan environnemental tout en soutenant une cause qui leur est chère. À preuve, plus de 200 organismes, entreprises et municipalités de partout au Québec ont répondu « présents » à l’appel de Consignéco. À Québec, Les Galeries de la Capitale, Raymond Chabot Grant Thornton et le Parc technologique du Québec métropolitain, pour ne nommer que ceux-là, ont sauté à pieds joints dans cette aventure philanthropique.  

« Nous sommes très enthousiastes de voir des maillages se créer entre entreprises et organismes dans la région de Québec. L’annonce d’aujourd’hui marque une étape significative et pourrait inciter d’autres organisations à forte résonnance à appuyer des organismes dans le besoin. Avec ce geste à la fois philanthropique et écologique, les citoyens de Québec ont maintenant une raison de plus d’applaudir leur équipe de champions », a conclu Pascale Demers, porte-parole de Consignéco.
Rappelons que chaque année au Québec, près de 462,5 millions de contenants consignés ne sont pas retournés au Québec, ce qui représente 28 millions de dollars. Si l’on répartit ces données en fonction du poids démographique de chacune des régions, cela représente 40,7 millions de canettes et une somme de 2,5 M$ à l’échelle de la Capitale-Nationale. De quoi permettre à l’un ou l’autre des 450 groupes communautaires et fondations que l’on recense dans la Capitale-Nationale de concrétiser des projets inspirants grâce à la consigne. De quoi motiver les consommateurs et les entreprises d’ici à redonner leurs précieux contenants consignés. De quoi soulager l’environnement et faire la différence pour sa communauté.

Cliquer sur le lien suivant pour regarder la vidéo:

http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/09/10/005-valoristes-cooperative-contenants-consignes-pont-jacques-cartier.shtml  

Et si nos contenants consignés venaient en aide aux enfants atteints de cancer? Les Galeries de la Capitale donne l'exemple et devient le tout premier centre commercial à joindre le mouvement de la consigne sociale.Québec, le 9 juin 2014 — Consignéco salue le leadership des Galeries de la Capitale qui devient le tout premier centre commercial dans la région de Québec à joindre le mouvement de la consigne sociale. Déjà investie de l’ambition de réduire son empreinte écologique, l’organisation entend démontrer que développement durable peut aussi rimer avec engagement social. Elle compte offrir à Leucan Région Québec l’argent de la consigne recueilli à même les contenants consommés dans son établissement.   Plus encore, Les Galeries de la Capitale invite ses millions de visiteurs à faire la différence auprès des enfants atteints de cancer et de leur famille. Rien de plus simple, après une halte à la foire alimentaire et une soif étanchée par une boisson rafraîchissante en canette, pensez à déposer votre contenant consigné dans les bacs de récupération aux couleurs de la campagne et ce, toute l’année durant.   « Chaque jour, nous avons le privilège de voir des enfants, sourire aux lèvres, s’amuser dans les attractions de notre Méga Parc. En joignant le mouvement de la consigne sociale, nous souhaitons démontrer qu’ensemble, grâce à la consigne, nous pouvons soutenir Leucan Région de Québec et générer encore plus d’étoiles dans les yeux de ces petits qui méritent chaleur, réconfort et répit. C’est notre façon de poser un geste pour la planète. C’est notre engagement à redonner. C’est notre manière de donner l’exemple et d’inciter d’autres entreprises à emboîter le pas pour propulser cette chaîne de générosité », souligne Julie Grenier, directrice marketing des Galeries de la Capitale, détenu et géré par le Groupe immobilier Oxford.« Depuis 35 ans, Leucan s'engage à soutenir les enfants atteints de cancer et leur famille partout au Québec. Chaque petit geste compte. Chaque don peut faire une différence. Chaque contribution nous permet d’en faire encore davantage pour accompagner les enfants atteints de cancer et leur famille en leur offrant de nombreux services et du soutien pour traverser les épreuves et les moments plus difficiles qui les affligent », ajoute Nathalie Matte, directrice régionale de Leucan Région Québec.   Rappelons que Les Galeries de la Capitale a été l’hôte, en 2012, de la 1re Journée de la Consigne qui a permis de donner un élan significatif au mouvement de la consigne sociale et qui constitue encore aujourd’hui une démonstration éloquente qu’on peut faire une différence dans sa communauté tout en soulageant l’environnement. Depuis, plus d’une centaine d’organismes et de nombreuses entreprises et municipalités de partout au Québec ont répondu « présents » à l’appel de Consignéco et soutiennent, grâce à la consigne, un organisme ou une cause qui leur est cher. Et il y a tous ceux qui ont déjà implanté cette bonne pratique en milieu de travail et dont Consignéco souhaite inventorier les succès.   « Chez Consignéco, nous constatons avec fierté que le mouvement de la consigne sociale prend de l’ampleur partout au Québec. Nous percevons un très grand enthousiasme à créer des maillages entre entreprises et organismes dans la région de Québec. L’annonce d’aujourd’hui marque une étape significative et pourrait visiblement inciter d’autres centres commerciaux à imiter Les Galeries de la Capitale et à appuyer des organismes qui en ont grandement besoin », conclut Pascale Demers, porte-parole de Consignéco.   Rappelons que chaque année au Québec, près de 462,5 millions de contenants consignés ne sont pas retournés au Québec, ce qui représente 28 millions de dollars. Si l’on répartit ces données en fonction du poids démographique de chacune des régions, cela représente 40,7 millions de canettes et une somme de 2,5 M$ à l’échelle de la Capitale-Nationale. De quoi permettre à l’un ou l’autre des 450 groupes communautaires et fondations que l’on recense dans la Capitale-Nationale de concrétiser des projets inspirants grâce à la consigne. De quoi motiver les consommateurs et les entreprises d’ici à redonner leurs précieux contenants consignés. De quoi soulager l’environnement et faire la différence pour sa communauté.

Les entreprises de Sainte-Aurélie, de Saint-Benjamin, de Saint-Prosper et de Saint-Zacharie sont invitées à offrir leurs canettes vides à la Maison des jeunes (MDJ) l’Olivier des Etchemins pour ainsi permettre à une dizaine de jeunes de réaliser un projet de coopération internationale dans un pays en voie de développement.En effet, la MDJ l’Olivier a choisi de faire de la consigne de canettes son principal levier de financement. Mais avant tout, l’organisme entend démontrer qu’une entreprise peut accroître sa performance environnementale tout en faisant une différence… une canette à la fois.« Déjà, l’utilisation de la consigne a fait ses preuves pour notre organisation, nous qui avons amassé plus de 14 000 $ pour soutenir notre dernier projet de coopération internationale. Aujourd’hui, nous souhaitons aller encore plus loin et donner de l’élan au mouvement de la consigne sociale. Nous proposons aux entreprises de notre région un partenariat gagnant qui ne leur coûte pas un sou. Nos jeunes pourront ainsi vivre une expérience unique et mémorable en plus de s’ouvrir au monde et de développer leur potentiel. De leur côté, nos partenaires réduiront leur empreinte écologique tout en ancrant leur présence dans la communauté », souligne Guillaume Rodrigue, coordonnateur de la MDJ l’Olivier des Etchemins.
« J’invite aujourd’hui toutes les entreprises membres de la Chambre de commerce de l’Est de la Beauce à démontrer leur leadership en adhérant au mouvement de la consigne sociale. Ensemble nous pouvons faire une différence pour cet organisme, en plus d’inspirer les autres entreprises de la région à adopter les meilleures pratiques en matière de récupération et d’engagement social », ajoute Alain Giroux, président de la Chambre de commerce de l’Est de la Beauce. Rappelons qu’à tous les ans au Québec, près de 462,5 millions de contenants consignés ne sont pas retournés au Québec, ce qui représente 28 millions de dollars. Si l’on répartit ces données en fonction du poids démographique de chacune des régions, cela représente 23,4 millions de canettes et une somme de 1,4 M$ à l’échelle de la Chaudière-Appalaches. De quoi permettre à l’un ou l’autre des 225 groupes communautaires et fondations qu’on recense dans cette région de concrétiser des projets inspirants grâce à la consigne.

Pour plus de détails ou pour effectuer un don de canettes, communiquez avec la MDJ l’Olivier des Etchemins au 418 594-5886.

Dans le cadre de la consigne sociale, Raymond Chabot Grant Thornton a pris l'initiative de se jumeler à La Maison des Enfants de St-Roch.   
Ainsi, tous les contenants consignés récoltés dans les bureaux de Québec  du groupe comptable seront remis à l'œuvre de bienfaisance. Les fonds  serviront à organiser des sorties pour les enfants.

En 2012, Consigneco s'est associée à Parcs Québec dans le cadre du mouvement de la consigne sociale.
Découvrez comment deux parcs nationaux de la SÉPAQ se sont vu remettre 3 000 $ pour soutenir le Fonds Parcs Québec, simplement en installant des bacs de collecte de contenants consignés sur leur site.  

Pour voir l'émission:
http://www.radio-canada.ca/emissions/alors_on_jase/2013-2014/document.asp?idDoc=324944
Pascale apparaît à partir de 54:48 minutes.

Téléchargez le PDF pour lire l'article.

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Lisez l'article ici:

http://www.novae.ca/actualites/sensibilisation/dec-2013/entreprises-utilisez-la-consigne-pour-souten...

Visionnez notre entrevue au Canal argent:
https://vimeo.com/81104160

Un article à lire dans le Courrier Laval:

http://www.courrierlaval.com/Actualites/Societe/2013-11-28/article-3518665/23,5-millions-de-canettes-a-recuperer-sur-lile/1

Plus de 500 000$ gaspillés chaque année.

Lire l'article complet ici :
http://www.lechoabitibien.ca/2013/11/25/plus-de-500-000-gaspilles-chaque-annee

Téléchargez le PDF pour lire l'article.

http://www.journaldemontreal.com/2013/11/21/fermeture-du-seul-centre-de-tri-pour-le-recyclage

http://www.985fm.ca/regional/nouvelles/perdu-1-7-millions-283058.html

http://www.journaldequebec.com/2013/10/14/consigne-de-canettes--28-millions--aux-ordures

Plus de 460 millions canettes échappent au système de consigne chaque année au Québec, ce qui représente plus de 28 millions $ de perdus.

La majorité de ces contenants sont retrouvés dans les ordures des centres d’achat ou les établissements hospitaliers. L’industrie brassicole du Québec a donc décidé de lancer un «Avis de recherche» afin de récupérer les contenants consignés et remettre l’argent de la consigne à l'un ou l'autre des 8000 organismes et des 16 000 fondations de la province. L’association Consignéco est à l’origine de ce projet. Elle regroupe la Brasserie Labatt du Canada, Molson Coors Canada, le Regroupement des distributeurs de bières du Québec, Sleeman Unibroue et l'Association des microbrasseries du Québec. «Le mouvement de la consigne sociale est visiblement appelé à prendre de l'ampleur, estime la porte-parole de Consignéco, Pascale Demers. Déjà, plus d'une centaine d'organismes et de nombreuses entreprises et municipalités de partout au Québec ont répondu “présent” à l'appel de Consignéco, choisissant de mettre à profit le potentiel social des contenants consignés pour soutenir un organisme ou une cause qui leur est cher. Et il y a tous ceux qui ont implanté cette bonne pratique en milieu de travail et dont on souhaite inventorier les succès.» La consigne permet d'ailleurs à une cannette de retourner sur les tablettes 60 jours après avoir été retournée par son premier acheteur. Elle est recyclée à 100 % et de façon infinie. À l'opposé, cette même cannette mettra entre 200 et 500 ans à se décomposer dans la nature, si elle est envoyée aux ordures. Le système de consigne est financé par les embouteilleurs. Consignéco propose une carte interactive qui permet de géolocaliser les organismes qui adhèrent au mouvement et qui sont disposés à récolter les précieux contenants.

Québec, le 14 octobre 2013 – Un important « Avis de recherche » est lancé. L’objectif : retrouver 462,5 millions de contenants consignés. La récompense : un geste pour la planète… et 28 M$, soit le montant de la consigne non réclamé chaque année. De quoi permettre à l’un ou l’autre des 8 000 organismes et des 16 000 fondations qu’on recense au Québec de concrétiser des projets inspirants grâce à la consigne. De quoi motiver les consommateurs et les entreprises d’ici à redonner leurs précieux contenants. De quoi soulager l’environnement et faire la différence pour sa communauté.

« Le mouvement de la consigne sociale est visiblement appelé à prendre de l’ampleur. Déjà, plus d’une centaine d’organismes et de nombreuses entreprises et municipalités de partout au Québec ont répondu « présents » à l’appel de Consignéco, choisissant de mettre à profit le potentiel social des contenants consignés pour soutenir un organisme ou une cause qui leur est cher. Et il y a tous ceux qui ont implanté cette bonne pratique en milieu de travail et dont on souhaite inventorier les succès », a souligné la porte-parole de Consignéco, Pascale Demers.

Pour donner de l’élan à cette chaîne de solidarité et saluer les succès, Consignéco propose une carte interactive qui permet de géolocaliser les organismes qui adhèrent au mouvement et qui sont disposés à récolter les précieux contenants. Une trousse de collecte, disponible au consigneco.org, vise aussi à appuyer les groupes qui choisissent de se tourner vers la consigne comme levier de financement et à les aider à structurer encore plus efficacement leurs campagnes caritatives. Consignéco met également en vitrine les initiatives en cours et les histoires à succès qui se multiplient dans les entreprises du Québec.

« Vous êtes un organisme qui utilise la consigne comme levier de financement? Faites-vous voir sur notre carte interactive et partagez-nous vos succès. Votre employeur amasse des contenants consignés et verse l’argent à une bonne cause? Consignéco souhaite vous connaître et vous célébrer : manifestez-vous! Vous êtes une entreprise dotée d’une politique de développement durable à la recherche de nouvelles pratiques destinées à améliorer votre bilan? La consigne sociale est pour vous! », a rappelé la porte-parole, incitant les intéressés à écrire à info@consigneco.org ou à publier leurs initiatives sur la page Facebook de l’organisation au www.facebook.com/Consigneco.

Rappelons que la consigne est un montant entièrement remboursé au moment du retour du contenant. Elle ne coûte donc rien au consommateur qui retourne ses contenants et qui pose ainsi un geste environnemental.

En 2012, Consigneco s'est associée à Parcs Québec dans le cadre du mouvement de la consigne sociale.  

Découvrez comment deux parcs nationaux de la SÉPAQ se sont vu remettre 3 000 $ pour soutenir le Fonds Parcs Québec, simplement en installant des bacs de collecte de contenants consignés sur leur site.

Par Agnès Chapsal | Agence QMI

Chaque année, plus de 462 millions de canettes consignées ne sont pas retournées au Québec, ce qui représente une valeur de près de 28 millions de dollars, selon l'association l'association à but non lucratif Consignéco.

Cette dernière incite les Québécois à rapporter ces contenants recyclables au lendemain de la Saint-Jean, pendant la période des déménagements et des festivals.

«L'année dernière, une équipe de soccer a rapporté pour 40 000 dollars en contenants recyclés avant 12 h le jour de la Saint-Jean, a raconté Pascale Demers, porte-parole de Consignéco. S'ils ne sont pas rapportés, les contenants consignés sont perdus, or ils ont une valeur.»

Mme Demers a aussi rappelé que les canettes allaient directement au recyclage, 100% de la matière est recyclée et il n'y a pas de déchets. Toutes les canettes sont réutilisées.

«Personne ne jette sa monnaie à la poubelle, pourquoi le fait-on avec des contenants? Vos contenants ont de la valeur : rapportez-les! Ou mieux encore, donnez-les à des organismes qui les transformeront en autant de gestes qui font du bien», a déclaré Mme Demers.

Selon la porte-parole, les canettes se trouvent souvent dans des centres d'achat, des hôtels et des entreprises.

«Nous souhaitons faire de la sensibilisation», a-t-elle ajouté. C'est dans cette perspective que l'association incite les Montréalais à organiser des collectes dans leur quartier ou sur leur lieu de travail. Ces collectes peuvent servir ensuite à financer différents projets. Aux États-Unis par exemple, 95 maisons ont été construites en dix ans.

Au Québec, 1,2 milliard de contenants à remplissage unique (CRU) doivent être récupérés chaque année. La consigne permet de récupérer 325 000 tonnes de matière annuellement.

Selon un sondage de Léger Marketing, réalisé en 2011, près de neuf Québécois sur dix disent rapporter leurs contenants consignés.

*Il faut lire 4 000$ et non 40 000$

Québec, le 20 juin 2013 – Alors que se mettent en branle les activités entourant la Fête nationale, au cours desquelles se consommeront des milliers de contenants consignés, Consignéco lance un défi aux organisateurs de festivals et à tous ceux qui participeront aux festivités partout au Québec : joindre le mouvement de la consigne sociale en s’associant à un organisme à but non lucratif à qui sera versé l’argent de la consigne. Autour d’un feu de camp, à la maison ou dans les festivals, faisons de la protection de l’environnement et de la philanthropie autant d’éléments de fierté nationale.   « C’est au cours de la période estivale que se consomme le plus grand nombre de contenants consignés. Trop souvent, des contenants consignés sont perdus alors que la consigne permet de récupérer 100 % de la matière. Personne ne jette sa monnaie à la poubelle, pourquoi le fait-on avec des contenants? Vos contenants ont de la valeur : rapportez-les! Ou mieux encore, donnez-les à des organismes qui les transformeront en autant de gestes qui font du bien »,  a déclaré la porte-parole de Consignéco, Mme Pascale Demers.   Chaque année, près de 462 millions de canettes consignées ne sont pas retournées, ce qui représente une valeur de près de 28 millions de dollars. Des millions de dollars qui nous permettraient d’aider des organisations ou des gens dans le besoin.   Consignéco incite d’ailleurs les groupes et organismes communautaires à coordonner des collectes dans leurs quartiers dans les jours suivant les festivités entourant la Fête nationale. « Notre récente étude terrain démontre qu’une collecte bien orchestrée peut s’avérer particulièrement payante, pouvant rapporter jusqu’à 4 000 $ en une seule journée dans certains cas. La preuve qu’on peut faire une différence… un contenant à la fois », d’ajouter Mme Demers.   Rappelons qu’une trousse d’aide à la collecte de contenants consignés est offerte gratuitement au consigneco.org, afin d’appuyer les groupes qui choisissent de se tourner vers la consigne comme levier de financement et de les aider à structurer encore plus efficacement leurs campagnes caritatives. Les organismes peuvent aussi participer à la carte interactive qui permettra à des citoyens ou à des entreprises de les retracer pour leur offrir des contenants consignés.      

Canton d’Orford, le 3 juin 2013 – Consignéco et la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq) élargissent un partenariat déjà fructueux en annonçant l’ajout d’un troisième parc national au projet visant à sensibiliser les Québécois à la valeur de la consigne et plus spécifiquement à son potentiel social. Ainsi, dès la mi-juin, il y aura des contenants de récupération à l’image de la campagne « Vos vides pour une bonne cause » près des plages des parcs nationaux d’Oka, du Mont-Orford et, désormais, du parc national de la Yamaska. Consignéco souhaite ainsi inciter les visiteurs à poser un geste « vert » tout en soutenant la mission du Fonds Parcs Québec à qui sera versé l’argent de la consigne.  

L’an dernier, les efforts combinés de Consignéco et de la Sépaq ont engendré des résultats éloquents : près de 53 500 canettes ont été amassées et, au final, plus de 3 000 $ ont été récoltés pour le Fonds Parcs Québec. La preuve qu’on peut faire une différence… une canette à la fois. Avec l’ajout d’un point de collecte et un enthousiasme renouvelé, les deux organisations espèrent faire encore mieux que l’année précédente.   « 

Il s’agit d’une association toute naturelle entre Consignéco et la Sépaq puisque, chacun à notre façon, nous faisons de la préservation de l’environnement le fondement de notre action. Avec la consigne, c’est 100 % de la matière qui est recyclée. C’est sans compter sa valeur sociale, une autre raison d’encourager le retour d’un plus grand nombre de contenants consignés », a mentionné Mme Pascale Demers, porte-parole de Consignéco.  

« Le développement durable et la protection de l’environnement constituent des valeurs et des principes fondamentaux qui guident nos activités. Pour accentuer nos efforts de conservation et de mise en valeur et traduire cette vision durable qui nous anime, nous avons mis sur pied le Fonds Parcs Québec. L’élargissement du projet pilote avec Consignéco s’inscrit parfaitement dans les objectifs que nous caressons. Un 5 ¢ à la fois, on protège aussi nos parcs nationaux! », s’est réjoui Mme Brigitte Marchand, directrice des parcs nationaux du Mont-Orford et de la Yamaska.  

Rappelons que chaque année, près de 400 millions de canettes consignées ne sont pas retournées, ce qui représente une valeur de près de 21 millions de dollars. Des millions de dollars qui, s’ils ne sont pas réclamés par les consommateurs, nous permettraient d’aider des organisations ou des gens dans le besoin. Pour en connaître davantage sur l’initiative, pour consulter la carte interactive afin de localiser un organisme ou pour joindre le mouvement de la consigne sociale, on se rend au consigneco.org.  

À PROPOS DE LA SÉPAQ ET DU FONDS PARCS QUÉBEC La Sépaq a pour mandat d’administrer et de développer des territoires publics et des équipements touristiques qui lui sont confiés par le gouvernement. Elle a mis sur pied le Fonds Parcs Québec, dédié exclusivement à soutenir des projets de protection des espèces fauniques et floristiques, de maintien des habitats et de conservation du patrimoine culturel dans les parcs nationaux. Les dons récoltés par le Fonds Parcs Québec serviront à mener différents travaux de recherche, de suivi ou d’inventaire. Ces travaux permettront d’obtenir de précieuses données nécessaires, notamment, à la sauvegarde d’espèces végétales ou animales. www.fondsparcsquebec.com  

Après les parcs nationaux d’Oka et du Mont-Orford, au tour du parc national de la Yamaska de joindre le mouvement de la consigne sociale au profit du Fonds Parcs Québec.  

Belle initiative de Raymond Chabot Grant Thornton, qui a s’est joint au mouvement de la consigne sociale et entend montrer qu’il est possible de faire la différence... une canette à la fois!
Soucieuse d’améliorer son bilan environnemental tout en soutenant sa communauté, le cabinet amasse, depuis mars 2013, des contenants consignés sur ses lieux de travail dans le but de remettre l’argent amassé à la Maison des enfants de Saint-Roch, organisme qui offre notamment du soutien et de l’aide aux devoirs aux enfants de 5 à 12 ans, des moments de répit à leurs parents et la coordination d’activités de divertissement pour des familles démunies.
Chaque année au Québec, près de 400 millions de canettes consignées ne sont pas retournées, ce qui représente une valeur de près de 21 millions $. Si l’on répartit ces données en fonction du poids démographique de chacune des régions, cela représente 34,3 millions de canettes et la somme de 1 845 000 $ à l’échelle de la Capitale-Nationale. Raymond Chabot Grant Thornton souhaite ainsi que son leadership incitera d’autres entreprises de la région à emboîter le pas pour soutenir des causes qui leur sont chères, tout en contribuant à un monde plus vert.

PIERRE GINGRAS @ JOURNAL DE QUÉBEC, PUBLIÉ LE: LUNDI 20 MAI 2013, 16H01 | MISE À JOUR: LUNDI 20 MAI 2013, 16H12 

6 Mai 2013 - Le maire de Sorel-Tracy, M. Réjean Dauplaise, invite les entreprises et les organismes de sa ville à joindre le mouvement de la consigne sociale. Pour donner une seconde impulsion à une habitude déjà bien implantée à la maison, la Ville souhaite encourager le maillage entre les entreprises et les organismes communautaires. Le principe est simple : les entreprises amassent, sur les lieux de travail, les contenants consignés afin de soutenir une cause qui leur est chère. De leur côté, les organismes les récupèrent et bénéficient de l'argent de la consigne pour donner vie à des projets et soutenir leur mission. « Voilà un nouveau levier de solidarité qui permet de concilier performance environnementale et philanthropie » a commenté le maire.

Chaque année au Québec, 400 millions de canettes consignées ne sont pas retournées, ce qui représente une valeur d'environ 21 millions de dollars. Pendant ce temps, plus de 650 groupes communautaires sont recensés dans la région de la Montérégie. Ceci est sans compter les œuvres de bienfaisance, fondations ainsi que les nombreux clubs sociaux et sportifs présentent partout sur le territoire.

« Au quotidien, je côtoie les entreprises et les organismes de ma ville. Les premières sont sollicitées de toutes parts pour redonner à leur communauté, tandis que les seconds doivent composer avec des ressources financières limitées alors que les besoins à combler, eux, sont illimités. Le mouvement de la consigne sociale est une initiative particulièrement rafraîchissante. Elle permettra de créer un vent de générosité à travers tout le Québec tout en favorisant l'atteinte de nos objectifs environnementaux. Bref, tout le monde y gagne» a ajouté M. Réjean Dauplaise.

Les études démontrent que c'est dans les institutions, commerces et industries que des volumes importants de contenants consignés ne sont pas retournés, d'où l'importance d'accroître la sensibilisation et de mettre en lumière toute la valeur des contenants consignés, dont leur potentiel social. D'ailleurs, selon des données recueillies sur le terrain, une collecte bien orchestrée peut s'avérer particulièrement payante. Dans certains cas, elle peut rapporter près de 4 000 $ en une seule journée (source : Consignéco). La consigne sociale constitue clairement un levier de financement supplémentaire pour les organismes leur permettant de s'acquitter encore plus efficacement de leur mission.

Joliette, le 10 avril 2013 – La Ville de Joliette a choisi d’appuyer une bonne cause et a même décidé d’aller plus loin en donnant l’exemple!
Ainsi, la Ville donnera à la Maison des Jeunes La Piaule toutes les canettes d’aluminium qui seront recueillies à l’hôtel de ville, ce qui représentera une source de financement additionnel pour cet organisme.

Consigne sociale
La décision des élus municipaux s’inscrit dans une démarche initiée par l’organisme Consignéco. Au cours des dernières semaines, Consignéco a invité les municipalités québécoises à encourager le maillage entre les entreprises et les organismes communautaires dans le but d’accroître la récupération des canettes d’aluminium et, ainsi, joindre le mouvement de la consigne sociale.
Dans la pratique, les entreprises amassent sur les lieux de travail les contenants consignés afin de soutenir une cause qui leur tient à cœur. De leur côté, les organismes choisis les récupèrent et bénéficient de l’argent de la consigne pour donner vie à des projets et soutenir leur mission. 
Pour le maire de la Ville de Joliette, M. René Laurin, cette approche est pleine de sens : « D’une part, souligne M. Laurin, elle incite le personnel des entreprises à récupérer pour une bonne cause et d’autre part, les organismes qui s’engagent à recueillir les canettes bénéficient d’une source de financement qu’ils n’auraient pas eu autrement ».

Sommes importantes
Les études démontrent que c’est dans les institutions, commerces et industries que des volumes importants de contenants consignés ne sont pas retournés, d’où l’intérêt manifeste d’accroître la sensibilisation et de mettre en lumière toute la valeur des contenants consignés, dont leur potentiel social.
On estime que chaque année au Québec, 400 millions de cannettes consignées ne sont pas retournées, ce qui représente une valeur d’environ 21 M$. Il s’agit non seulement d’une perte d’argent nette, mais aussi du gaspillage d’une ressource première ayant nécessité une grande quantité d’énergie à produire. « En s’adonnant à la consigne sociale, on y gagne donc à tout point de vue », a conclu le maire Laurin.

Québec, le 15 novembre 2012 – Dans le cadre de la Journée nationale de la philanthropie, Consignéco entend donner de l’impulsion au mouvement de la consigne sociale en incitant les entreprises québécoises à faire une différence auprès d’organismes dans le besoin… une canette à la fois. Consignéco souhaite favoriser des jumelages prometteurs et proposer aux entreprises un nouveau levier pour accroître leur performance environnementale tout en appuyant une cause qui leur est chère!  

En effet, chaque année, près de 400 millions de canettes consignées ne sont pas retournées, ce qui représente une valeur de près de 21 millions de dollars.  Au même moment, des milliers de groupes communautaires portent à bout de bras une mission exigeante et doivent rivaliser d’audace pour diversifier leurs sources de financement et assurer leur pérennité. L’initiative de Consignéco peut faire partie de la solution.  

« Nous souhaitons encourager le maillage, provoquer les rencontres et surtout inviter les entreprises à joindre le mouvement de la consigne sociale. Nous leur proposons avant tout un partenariat novateur et gagnant-gagnant permettant de s’engager sur le plan environnemental et s’investir dans une cause en lien avec leurs valeurs », a souligné la porte-parole de Consignéco, Mme Pascale Demers.  

LA CONSIGNE SOCIALE AU SERVICE DE L’ENVIRONNEMENT
Les études démontrent que des volumes importants de contenants consignés sont perdus chaque année dans les institutions, commerces et industries (ICI). Par ailleurs, ces mêmes groupes recherchent des outils additionnels pour supporter la gestion de leurs matières résiduelles. Avec le nouvel outil proposé, beaucoup de 5¢ pourraient faire du chemin et soutenir l’un ou l’autre des 8 000 organismes et des 16 000 fondations recensés au Québec.  

Par ailleurs, la consigne constitue un outil particulièrement efficace pour réduire les matières résiduelles et contribuer à soulager le Québec de près de 325 000 tonnes de matières chaque année, soit le 1/3 de toute la récupération résidentielle au Québec. C’est sans compter qu’en misant sur la consigne, on recycle 100 % de la matière et on offre généralement une seconde vie à nos contenants consignés en 60 jours seulement.    

La Consigne : un outil efficace de financement! 
Une étude de terrain réalisée par Consignéco démontre qu’une collecte bien orchestrée peut s’avérer particulièrement payante. Dans certains cas, elle peut rapporter près de 4 000 $ en une seule journée.  

Pour outiller les organisations, leur simplifier la tâche et leur fournir une foule de trucs et de conseils, Consignéco offre un site web revampé avec une carte interactive permettant de géolocaliser un groupe ou un organisme disposé à récupérer les contenants consignés. De plus, une trousse philanthropique offerte gratuitement au consigneco.org, vise à appuyer les groupes qui choisissent de se tourner vers la consigne comme levier de financement et à les aider à structurer encore plus efficacement leurs campagnes caritatives.   

« Visiblement, une collecte efficace de contenants consignés peut constituer, pour des groupes et organismes communautaires, une source de financement prometteuse. Pour les entreprises qui choisiront d’offrir des contenants consignés, donner n’aura jamais été aussi simple et payant, et ce, sur tous les plans ! La preuve qu’on peut faire une différence… une canette à la fois », a conclu Mme Demers.  

Rappelons que la consigne est un montant entièrement remboursé au moment du retour du contenant. Elle ne coûte donc rien au consommateur qui retourne ses contenants et qui pose ainsi un geste environnemental.  

SAVIEZ-VOUS QUE…  
-        Chaque année quelque 1,2 milliard de contenants à remplissage unique doivent être récupérés ?
-        De ce nombre, plus de 390 millions de canettes consignées ne sont pas retournées, ce qui représente 21 M$ ?
-        Qu’en mettant bout à bout un an de canettes consignées non rapportées au Québec, on pourrait faire le tour de la Terre… même un peu plus ?
-        Près de neuf Québécois sur dix (88%) disent rapporter leurs contenants consignés ? 
-        La consigne permet de récupérer 325 000 tonnes de matière chaque année ?
-        La consigne permet un tri à la source sans mélanges. Pas de centre de tri, pas de centre d’enfouissement, qu’une seule étape, celle du recyclage. Que de la matière récupérée à 100 %!
-        Le taux de récupération des canettes à 5¢ dépasse présentement les 67 % ? Que celui des canettes à 20¢ atteint 92 % ?
-        Plus de 10 000 tonnes d’aluminium sont récupérées chaque année grâce à la consigne, représentant une valeur de 15 M$ ?
-        Qu’une canette récupérée par la consigne pourra être recyclée à l’infini et débutera sa 2e vie sur les étagères après seulement 60 jours ?  

COMMENT ORGANISER UNE COLLECTE EFFICACE ?
-        Saviez-vous qu’une collecte active de contenants consignés peut rapporter près de 4 000 $ en une seule journée ?
-        Collecte active ou passive : le choix est clair! Le porte-à-porte reste le moyen le plus efficace.
-        Affichez vos couleurs : mentionnez la cause ou la motivation. Arborez un signe distinctif (chandail, dossard) et personnalisez les véhicules utilisés lors de la collecte.
-        Communiquez, communiquez, communiquez : relayez votre message, misez sur la publicité, les médias sociaux et le bouche-à-oreille.
-        Choisir le bon moment : Le porte-à-porte s’effectue surtout au printemps et à l’automne, en prévision des activités estivales et hivernales. Mais les collectes suivant de grands événements ou fêtes sont aussi particulièrement payantes : Saint-Jean-Baptiste, Fête du Canada, Action de Grâce, congé pascal… À qui la chance?
-        La préparation constitue un facteur clé dans l’organisation d’une collecte réussie: répartition des tâches, tri, rangements temporaires, mobilisation des bénévoles, il faut avoir le souci du détail!
-         Le Club de soccer Les Phénix de Québec l’ont bien compris et ont amassé près de 3000 $ en une seule journée. 

Québec, le 7 juin 2012 - Consignéco est fière de s’associer à la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq) pour proposer une nouvelle occasion de faire une différence pour l’environnement. En effet, dès le 21 juin prochain, et dans le cadre d’une campagne estivale dans les parcs nationaux d’Oka et du Mont-Orford, les deux organisations uniront leurs efforts afin de sensibiliser les Québécois à la valeur de la consigne, et ce, tout en appuyant les activités de conservation de la nature.  

En plus de réitérer l’importance de rapporter ses canettes consignées pour l’environnement, le projet pilote permettra de mettre en vitrine le potentiel social des contenants consignés. Une contribution d’un montant égal au remboursement de la consigne sur ces contenants récupérés durant la période estivale dans les infrastructures de collecte identifiées Consignéco sera versée au Fonds Parcs Québec.  

« Pour Consignéco, il s’agit d’encourager le retour d’un plus grand nombre de contenants consignés vides en misant sur leur valeur écologique, mais aussi sur leur potentiel philanthropique. Chaque année, la consigne permet de récupérer 325 000 tonnes de matière. Nous pouvons faire encore plus, faire encore mieux. Cet été, on donne nos vides pour une bonne cause », explique Mme Pascale Demers, porte-parole de Consignéco.  

Tout au long de la saison estivale, des contenants de récupération distinctifs seront installés sur place afin de permettre aux utilisateurs d’y déposer leurs précieuses canettes consignées. Ainsi, ils contribueront au Fonds Parcs Québec, cette initiative qui permet aux citoyens de participer plus étroitement au maintien de l’intégrité écologique des parcs nationaux.  

« Le développement durable et la protection de l’environnement représentent des valeurs fondamentales qui guident nos activités. On fréquente les parcs nationaux pour les espaces de nature quasi intacte et pour les trésors souvent insoupçonnés qu’on y trouve. On se déplace pour la beauté des paysages. Ainsi, le projet pilote nous permettra non seulement de récupérer et de valoriser des produits recyclables, mais aussi de participer à la protection, à la conservation et, à terme, à la pérennité et à la beauté de nos parcs nationaux » souligne le président-directeur général de la Sépaq, M. Raymond Desjardins.  

De plus, la campagne de sensibilisation, qui se déclinera dans deux parcs nationaux, se traduira, notamment, par la visite d’une escouade spéciale qui visitera la plage du parc national d’Oka les samedis 23 et 30 juin prochains, puis le parc national du Mont-Orford les samedis 21 juillet et 11 août prochains. Cette escouade sensibilisera les visiteurs à la préservation de l’environnement et, par conséquent, à l’importance de la consigne pour y contribuer.  

« La consigne est l’un des gestes écoresponsables les plus répandus chez nous. Les Québécois ont pris cette bonne habitude il y a plusieurs années. De nos jours, c’est un geste naturel que de rapporter bouteilles et canettes vides, et il y a lieu de s’en réjouir. Ce projet démontre que les retombées positives de la consigne dépassent le seul cadre économique. Encore une fois nous avons l’exemple d’un geste simple et concret qui peut engendrer des gains importants sur le plan social et environnemental », a déclaré le ministre du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs, M. Pierre Arcand.  

Rappelons que chaque année, 390 millions de canettes consignées ne sont pas retournées, ce qui représente une valeur de près de 21 millions de dollars. Des millions de dollars qui, s’ils ne sont pas réclamés par les consommateurs, nous permettraient d’aider des organisations ou des gens dans le besoin. Consignéco propose d’ailleurs une trousse philanthropique, disponible au www.votrecollecte.ca, qui vise à appuyer les groupes qui choisissent de se tourner vers la consigne comme levier de financement et à les aider à structurer encore plus efficacement leurs campagnes caritatives.   

À PROPOS DE LA SÉPAQ ET DU FONDS PARCS QUEBEC
La Sépaq a pour mandat d’administrer et de développer des territoires publics et des équipements touristiques qui lui sont confiés par le gouvernement. Elle a mis sur pieds le Fonds Parcs Québec, dédié exclusivement à soutenir des projets de protection des espèces fauniques et floristiques, de maintien des habitats et de conservation du patrimoine culturel dans les parcs nationaux. Les dons récoltés par le Fonds Parcs Québec serviront à mener différents travaux de recherche, de suivi ou d’inventaire. Ces travaux permettront d’obtenir de précieuses données nécessaires, notamment, à la sauvegarde d’espèces végétales ou animales. www.fondsparcsquebec.com  

Québec, le 14 mai 2012 – Consignéco est heureuse d’annoncer la tenue de la toute première Journée de la Consigne au profit de la Fondation Maurice Tanguay. L’événement, qui se tiendra le 26 mai prochain, aux Galeries de la Capitale, à compter de 9 h 30, permettra de mettre en lumière la valeur des canettes consignées et plus particulièrement leur potentiel philanthropique. Cette première édition s’annonce haute en couleur : présence du porte-parole de l’événement Mario Tessier, activités ludiques et éducatives, nombreux prix instantanés à gagner et prestations enlevantes des percussionnistes de BANG!  

« Chaque année, 390 millions de canettes consignées ne sont pas retournées, ce qui représente une valeur de près de 21 millions de dollars. Des millions de dollars qui, s’ils ne sont pas réclamés par les consommateurs, nous permettraient d’aider des organisations ou des gens dans le besoin. Le 26 mai prochain, en participant à la Journée de la Consigne, nous ferons, ensemble, une différence pour la Fondation Maurice Tanguay tout en posant un geste positif pour l’environnement. Gens de Québec, le décompte est commencé et je vous convie à amasser, dès maintenant,  vos précieux contenants consignés et à nous rapporter vos vides pour une bonne cause », a indiqué le porte-parole de l’événement et animateur bien connu Mario Tessier.  

« Le 26 mai prochain, Consignéco demande aux gens de Québec de faire un détour par les Galeries de la Capitale, pour venir y déposer leurs canettes vides. J’espère sincèrement qu’ils seront nombreux à répondre à l’appel. Je l’espère pour toutes les personnes qui bénéficieront de leur générosité, et aussi pour l’environnement. Parfois, un simple petit geste peut faire toute la différence, en voici un bon exemple », a déclaré le ministre du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs, monsieur Pierre Arcand.  

Rapporter ses canettes est un geste payant et important. La consigne peut aussi changer la vie des gens dans le besoin. La Journée de la Consigne s’inscrit au cœur d’une vaste campagne de sensibilisation destinée à inciter les Québécois à rapporter les canettes consignées chez les détaillants et à mieux faire connaître leur valeur. Consignéco a d’ailleurs dévoilé sa trousse philanthropique. Véritable boîte à outil, la trousse, disponible au www.votrecollecte.ca, vise à appuyer les groupes qui choisissent de se tourner vers la consigne comme levier de financement et à les aider à structurer encore plus efficacement leurs campagnes caritatives.   

« Les Galeries de la Capitale est fier d’accueillir la Journée de la Consigne et de soutenir Consignéco dont les valeurs écologiques rejoignent celles du complexe commercial. En plus d’être le site d’accueil de l’événement, nous avons choisi de contribuer de façon concrète dès aujourd’hui en installant des gobeuses dans la foire alimentaire principale. Les sommes amassées d’ici au 26 mai seront versées à une cause pour enfants qui nous est chère, La Fondation Maurice Tanguay. Tout comme Les Galeries de la Capitale, l’événement promet d’être hautement divertissant avec des activités amusantes pour toute la famille. De nombreux prix instantanés seront offerts aux participants, dont des cartes-cadeaux Galeries et des laissez-passer pour les manèges du Méga Parc », a souligné monsieur Yves Bois, directeur général des Galeries de la Capitale.  

« Nous accueillons cette initiative avec beaucoup d’enthousiasme. La mission de la Fondation Maurice Tanguay est d’aider les enfants handicapés de tout l’Est du Québec en posant des gestes concrets directement auprès des familles ou auprès d’organismes qui les appuient. Le 26 mai, faisons de ce premier rendez-vous une expérience unique et gratifiante qui nous permettra de soutenir, avec une impulsion renouvelée, l’œuvre de la Fondation Maurice Tanguay auprès des enfants handicapés », a affirmé monsieur Jacques Tanguay, président de la Fondation.   

« Les retombées d'une telle initiative sont tangibles et profitent à toute la communauté. Le potentiel de la consigne est bien réel et permettra de soutenir financièrement une multitude de causes et d'organismes qui font une différence dans leur milieu », a déclaré le député de Vanier, Patrick Huot.  

Rappelons que la consigne est un système apprécié des Québécois qui a fait ses preuves depuis plusieurs décennies. Le taux de récupération des canettes à 5¢ dépasse présentement les 65 % tandis que celui des canettes à 20¢ atteint 92 %, une situation enviable mais qui peut être encore améliorée. Chaque année, la consigne permet de récupérer 325 000 tonnes de matière, un geste particulièrement significatif sur le plan environnemental. La consigne permet d'ailleurs d'atteindre des taux de récupération impressionnants, favorisant ainsi la valeur et la qualité de la matière récupérée.